VII. En guise de conclusion▲
Nous voici arrivés à la fin de notre application de logistique en n'utilisant que les instructions présentes dans la documentation Microsoft, sans faire appel à des Flow ou composants particuliers et sans faire appel, non plus, à des connaissances préalables. Ceci et sa courbe d'apprentissage assez plate pour que des non-spécialistes IT puissent se l'approprier grâce à son éditeur WysWyg et son langage simple montrent que PowerApps est à sa place, dans une entreprise, pour le développement d’applications WEB simples avec, à la clé, un gain de ressources notable (soit on peut déléguer à un débutant, voire à un utilisateur un peu IT, soit on gagnera du temps, soit les deux).
Bien sûr, cet outil n'est pas magique et ne peut pas remplacer, dans des projets complexes, des techniques comme J2EE. D'autre part les temps de réponse sont plutôt mauvais et interdisent son utilisation sur des tables volumineuses.
J'ai aimé : sa simplicité de prise en main, l'éditeur wysiwyg, le côté « LEGO » et la promesse Low Cost assez bien tenue.
Je n'ai pas aimé : la lenteur des recherches en table, la fenêtre d'édition vite confuse, les messages d'erreurs parfois abscons.
J'ai détesté : le côté « tout payant », y compris le support d'outils natifs comme OleDb et ODBC.